
Le chauffage au bois est-il vraiment écologique ?
Le bon tuyau (de poêle) ? Présenté comme une alternative durable et économique aux énergies fossiles, le chauffage au bois génère une pollution de l’air qu’il faut maîtriser.
Santé et pollution
Le bon tuyau (de poêle) ? Présenté comme une alternative durable et économique aux énergies fossiles, le chauffage au bois génère une pollution de l’air qu’il faut maîtriser.
Engagé dans un recours auprès du tribunal administratif depuis un an, le gouvernement va peut-être pouvoir compter sur l’aide d’un des plus gros producteurs de pesticides au monde. La demande d’intervention du groupe Bayer doit encore être validée par le juge.
Après l’interdiction des dérogations pour les néonicotinoïdes, plusieurs associations environnementales et des parlementaires de gauche enfoncent le clou et demandent à la justice de contraindre le gouvernement à s’assurer de la non-toxicité à long terme des produits phytosanitaires avant leur mise sur le marché.
Lundi, le ministre de l’agriculture Marc Fesneau a confirmé que les néonicotinoïdes, ces pesticides « tueurs d’abeilles », ne seraient pas réautorisés dans les champs de betterave à sucre cette année.
Depuis des semaines, d’immenses quantités de petites billes en plastique s’échouent sur les plages du littoral français, provoquant des ravages sur la biodiversité marine et terrestre. Ces derniers jours, plusieurs plaintes ont été déposées par les autorités publiques pour mettre fin à l’impunité des industriels à l’origine des pollutions.
Des associations écologistes et de défense des consommateur·rices, ainsi que des acteurs du bio, attaquent les insuffisances de la certification Haute valeur environnementale (HVE).
La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a jugé illégales les dérogations permettant l’utilisation de pesticides néonicotinoïdes en Europe, au moment où la France s’apprêtait à les autoriser à nouveau en 2023.
Sous l’effet du réchauffement climatique, le dégel des sols de l’Arctique relâche des pathogènes parfois endormis depuis des dizaines de milliers d’années.
La justice française a prononcé un non-lieu dans l’affaire du chlordécone, du nom de ce pesticide longtemps utilisé dans les bananeraies des Antilles alors qu’il était interdit en France métropolitaine. Les victimes devraient faire appel de cette décision.
T-shirt, boxer, pantalon, veste, collant ou maillot de foot… Dans lequel de nos vêtements enfilés à la hâte ce matin n’y a-t-il aucune fibre synthétique ? Un rapport, publié ce mercredi par la fondation Changing Markets (CMF) et l’ONG française No Plastic in my Sea, pointe une nouvelle fois le fait que notre garde-robe est remplie de pétrole et de micro-plastiques.
Côté pile, ces plateformes permettent d’éviter la pollution générée par la production des vêtements. Côté face, leur fonctionnement addictif nous pousse à accumuler les colis au-delà de nos besoins.
Près de 20 ans après la fermeture de l’usine Metaleurop, dans le Pas-de-Calais, la pollution au plomb imprègne encore les sols et contamine les enfants qui vivent alentour, révèle une enquête de Vert de rage confirmée par des analyses de l’Agence régionale de santé.
L’eau du robinet est-elle (vraiment) potable ? : c’est à cette question d’intérêt public que tente de répondre Complément d’enquête dans son dernier épisode, diffusé jeudi soir.
C’est l’un des produits phares de l’été et pourtant, il paraît difficile, voire impossible, de trouver une crème solaire à la fois écologique et agréable à utiliser. Fondatrice d’Oolution, Anne-Marie Gabelica nous explique certains des freins qui pèsent sur le secteur des cosmétiques bio.
En Europe, en Asie, en Afrique ou en Amérique du Nord, la multiplication des épisodes de grippe aviaire à travers la planète et les mutations du virus H5N1, qui en est à l’origine, font peser de sérieuses menaces sur la santé des écosystèmes et celles des humains.
La dernière enquête de la journaliste Marie-Monique Robin s’intéresse aux liens entre la santé des écosystèmes et la nôtre. Elle y donne la parole à des scientifiques dont la mise en garde est claire : si nous continuons à détruire les espaces de vie sauvage, nous connaîtrons « une ère d’épidémie de pandémies ».
La pollution de l’air, de l’eau et des sols est responsable de neuf millions de morts chaque année. Mais, cet énorme problème de santé publiqué est peu combattu dans les pays les plus pauvres, qui sont aussi les plus touchés.
Le journaliste d’investigation Martin Boudot a révélé la présence de perfluorés – des composants chimiques qualifiés de « polluants éternels » – autour de la commune de Pierre-Bénite, près de Lyon. Une pollution inédite qui pourrait être liée à la présence d’une usine Arkema, qui fabrique des thermoplastiques, à proximité.
Le dernier numéro de l’émission Envoyé Spécial a révélé la présence de perfluorés – qualifiés de « polluants éternels » – dans l’eau, l’air et le sol de la commune de Pierre-Bénite, près de Lyon, où est installée une usine du chimiste Arkema. Le journaliste Martin Boudot, qui a réalisé l’enquête, dénonce un scandale environnemental, sanitaire et politique.
Les déchets spatiaux se sont tellement accumulés autour de la Terre qu’ils menacent le bon fonctionnement des satellites. Depuis plus de dix ans, les appels se multiplient pour faire le ménage, mais très peu de solutions concrètes ont émergé. Le vent pourrait tourner avec une mission européenne imminente, une forte volonté politique du côté des Etats-Unis et des entreprises qui se creusent la tête pour inventer le prochain camion-poubelle spatial.