
Pour en finir avec le greenwashing des livrets d’épargne
Argent dormant. 100 milliards d’euros ronflant sur les livrets de développement durable et solidaire (LDDS) pourraient être redirigés tout de suite vers la transition écologique et sociale.
Bonnes idées et bonnes nouvelles
Argent dormant. 100 milliards d’euros ronflant sur les livrets de développement durable et solidaire (LDDS) pourraient être redirigés tout de suite vers la transition écologique et sociale.
Une pétition qui fait le bzzz. Déjà signée par 800 000 personnes, l’Initiative citoyenne européenne (ICE) « Sauvons les abeilles et les agriculteurs » veut contraindre Bruxelles à éliminer les pesticides et à promouvoir des méthodes agroécologiques.
Paille paille le plastique ? L’ONG Surfrider lance une vaste campagne participative en ligne pour vérifier si les plastiques à usage unique ont bien été bannis des étals européens.
Dans une lettre ouverte adressée aux gouvernements du monde entier, 2 000 universitaires exigent un traité de non-prolifération des combustibles fossiles, sur le modèle de celui qui régit les armes nucléaires.
Terminée, l’école pétrolière. La célèbre université américaine a annoncé la fin prochaine de ses investissements dans les énergies fossiles.
Perd Castor. Le castor européen a frôlé l’extinction au début du XXè siècle. Son retour est synonyme de grands bénéfices pour les écosystèmes.
Les thons ont la pêche. Quatre espèces de thons pêchés commercialement sont « en bonne voie de rétablissement » grâce à l’application de quotas de pêche régionaux appliqués depuis une décennie.
Une trame verte nommée désir. Dans la préservation du vivant et de ses habitats, il est une solution qui fait son chemin en France et en Europe : la trame verte et bleue.
Botaniste renommé, il a parcouru le monde depuis les canopées des plus belles forêts. Francis Hallé est à la tête d’une association qui œuvre à recréer une forêt primaire en Europe de l’Ouest. Dans un entretien accordé à Vert, il raconte les nombreux défis posés par ce réjouissant projet.
Il y a un lézard. A l’occasion de son congrès mondial, l’Union internationale de conservation de la nature (UICN) vient de mettre à jour sa célèbre liste rouge des espèces menacées. En tête d’affiche, le dragon de Komodo, dont le statut vient de passer de « vulnérable » à « en danger ».
Travail à la chêne. Au Royaume-Uni, des geais ont replanté la moitié des arbres de deux nouvelles forêts, en quelques années à peine, preuve de l’efficacité de la régénération naturelle de certains écosystèmes.
Une solution à développer dard-dard. Pour lutter contre la prolifération de moustiques-tigres, la municipalité de Saint-Louis (Haut-Rhin) a installé cinq « hôtels » qui accueillent des centaines d’hirondelles.
Ça en fourche un coin. Nourrir les Européen·ne·s en se passant d’engrais et de pesticides de synthèse, c’est possible, à condition de végétaliser notre alimentation, selon des chercheurs français.
Saltimbanque. Depuis sa création en 1988, la coopérative financière de la Nef a financé plus de 7 000 projets à forte utilité écologique, sociale et culturelle.
Ça frite à Bruxelles. Un tribunal belge vient de condamner l’Etat fédéral pour son inaction dans la lutte contre le bouleversement climatique, qui met en danger les populations et porte ainsi atteinte aux droits de l’homme.
Work in progress. Une étude britannique estime que la généralisation des semaines de quatre jours permettrait de réduire l’empreinte carbone du pays de 21,3%.
L’avion prend un coup dans le train. La suppression des lignes aériennes qui ont un équivalent de moins de 4 heures de train représente un gain de temps, d’argent, de confort et de CO2, d’après le Réseau action climat.
Atterrissage forcé. La principauté d’Andorre vient d’abandonner son projet insensé d’aéroport pour les ultra-riches dans les Pyrénées.
L’audience élevée. Vendredi, la plus haute cour administrative a statué sur l’action du gouvernement en matière de lutte contre le réchauffement climatique. Le rapporteur public n’a pas été convaincu par les mesures présentées.
Jeu de maux. Une game-designeuse et deux experts du climat ont créé un jeu autour du concept d’empreinte carbone, qui permet de sensibiliser, sans braquer, aux questions environnementales.