Le baroud d’honneur de Trump contre le climat
En attendant de céder sa place à son successeur à la maison blanche en janvier prochain, Donald Trump parachève sa destruction de l’environnement.
Énergie
En attendant de céder sa place à son successeur à la maison blanche en janvier prochain, Donald Trump parachève sa destruction de l’environnement.
Il y a urgence, mais pas trop. La France ne cessera de soutenir les projets d’exploitation d’énergies fossiles qu’en 2035.
Un pétrolier projette d’ouvrir de nombreux nouveaux puits en Seine-et-Marne.
Les sociétés cotées du CAC 40 présentent un bilan environnemental toujours aussi désastreux.
Si Joe Biden promet une rupture avec Donald Trump sur le climat, il ne faut pas espérer de changement trop radical.
Un sondage proposé par le pétrolier Shell a entraîné un brutal retour de flamme sur les réseaux sociaux.
Engie renonce à signer un énorme contrat d’importation de gaz naturel liquéfié (GNL) avec le groupe américain NextDecade.
Plusieurs géants du pétrole et du gaz viennent de créer un consortium pour opérer des projets de captage et de stockage de CO2 (CSC) en mer du Nord.
En un mois, la Chine, le Japon et la Corée du Sud ont annoncé vouloir atteindre la neutralité carbone d’ici le milieu du siècle.
La fiscalité environnementale pèse trois fois plus lourdement sur les ménages les plus pauvres que sur les plus aisés.
2 420 milliards d’euros. C’est ce que les plus grandes banques mondiales d’investissement ont apporté, sous forme de prêt et d’émission de titres, aux producteurs d’énergies fossiles depuis la signature de l’Accord de Paris sur le climat en 2016.