
L’éolien français prend (enfin) la mer
100 transitions. La première éolienne en mer a été installée mercredi au large des côtes françaises. La France a des objectifs ambitieux, mais elle est en retard par rapport à ses voisins européens.
100 transitions. La première éolienne en mer a été installée mercredi au large des côtes françaises. La France a des objectifs ambitieux, mais elle est en retard par rapport à ses voisins européens.
Il promet « d’enrichir » son programme, elle s’enfonce dans le climato-négationnisme : Emmanuel Macron et Marine Le Pen ont des techniques très différentes pour convaincre les indécis·es à l’approche du second tour de la présidentielle.
C’est à l’adolescence que basculerait notre rapport aux animaux, révèle une étude parue dans la revue Social psychological and personality science.
Mercredi, un collectif de citoyen·nes a lancé une pétition pour demander au premier ministre Jean Castex de renoncer aux jets privés pour aller voter lors des prochains tours de scrutin.
Lors de son déplacement dans les Hauts-de-France hier, au lendemain du premier tour de la présidentielle, le président-candidat Emmanuel Macron a reconnu que son projet devait être « enrichi, notamment sur l’écologie ». Vert lui a mâché le travail.
C’est l’une des pires activités pour le climat, et pourtant certains affirment que le tourisme spatial permettrait d’éveiller les consciences à l’écologie. Or, il est largement possible de s’émouvoir de la fragilité de la planète sans quitter la terre ferme, ni exploser son budget carbone.
Dimanche, le premier ministre Jean Castex s’est payé un aller-retour express en jet privé pour aller voter à Prades, commune des Pyrénées-Orientales dont il a longtemps été maire, à l’occasion du premier tour de la présidentielle.
Le Giec nous a donné trois ans pour tout changer afin de nous épargner les pires effets du bouleversement du climat et nous venons probablement de signer pour cinq années de plus avec un président deux fois condamné pour son inaction en la matière. Mais il n’est pas question de baisser les bras.
À l’appel de centaines d’organisations, plus de 80 marches « pour le futur » se sont tenues en France ce samedi dans le but de faire converger les luttes environnementales, féministes, antiracistes et contre la précarité. Si aucune consigne de vote n’a été donnée, à la veille du premier tour de la présidentielle, la tentation d’un « vote utile » pour l’écologie et la justice sociale était sur de nombreuses lèvres.
Alors que le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) a mis un point final à son sixième rapport, la poignée de climatosceptiques qui subsiste dans les médias s’agite (espérons-le) une dernière fois. Voici les arguments qu’elles et ils ne manqueront pas d’utiliser pour nier la gravité de la crise et l’urgence des actions à mener.
À quelques jours du scrutin présidentiel, Vert a examiné les propositions sur l’écologie portées par la droite de la droite. Si Marine Le Pen développe un syncrétisme douteux entre nationalisme et environnement, Éric Zemmour est plus explicitement opposé à la science.
A noté ! À quelques heures du premier tour de l’élection présidentielle, Vert vous propose d’y voir clair dans les mesures des douze prétendant·es à l’Élysée sur l’écologie.
Pour que le climat et la justice sociale soient au cœur des débats, et contre « le découragement » et « la paralysie », des « marches pour le futur » sont organisées partout en France ce samedi 9 avril.
Excédé·es par le peu de cas que leurs gouvernements ont fait des préconisations des rapports successifs du Giec, des centaines de scientifiques de plus de 25 pays appellent à la désobéissance civile pour préparer le terrain à une « révolution climatique ».
La candidate Les Républicains à l’élection présidentielle se démarque de ses adversaires de droite par un programme plus étoffé sur l’écologie. Mais à manier seulement l’incitation sans « punition » et à préférer la technologie au changement de société, son projet paraît s’éloigner de l’ambition réclamée par la lutte contre la crise climatique.
Spécialiste en analyse du discours et en sciences du langage, le chercheur Albin Wagener a dirigé une vaste étude sur les réseaux sociaux durant le quinquennat Macron. Ses travaux identifient quatre groupes aux approches politiques distinctes vis-à-vis des questions environnementales et climatiques.
Maintenant que le Giec a sorti les trois volets de son rapport et que l’on a toutes les données scientifiques sur le changement climatique (tome 1), que l’on connaît ses impacts sur les sociétés humaines et l’ensemble du vivant (tome 2), et les remèdes à apporter à la crise (tome 3), qu’est-ce qu’on fait ? Sanaga a bien sa petite idée…
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) vient de rendre le troisième et dernier tome de son nouveau rapport, consacré aux solutions qui permettront de contenir l’emballement climatique. Tour d’horizon des principaux enseignements de ce document majeur.
L’approbation du dernier tome du nouveau rapport du Giec, consacré à l’atténuation de la crise climatique, a été retardée par certains désaccords au sujet, notamment, de l’indispensable sortie des énergies fossiles.
Julien Lefèvre est chercheur au Centre international de recherche sur l’environnement et le développement (Cired) et contributeur au troisième volet du 6ème rapport du Giec, qui étudie les scénarios de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Pour Vert, il détaille l’approche adoptée par les expert·es pour ces tout derniers travaux publiés ce lundi.