
Le grand baobab de Madagascar prend l’eau
Bas aux baobabs. Emblématique de Madagascar, seul endroit où on le trouve sur Terre, le baobab « de Grandidier » – le plus haut de tous – est menacé de disparition.
Biodiversité
Bas aux baobabs. Emblématique de Madagascar, seul endroit où on le trouve sur Terre, le baobab « de Grandidier » – le plus haut de tous – est menacé de disparition.
Une trame verte nommée désir. Dans la préservation du vivant et de ses habitats, il est une solution qui fait son chemin en France et en Europe : la trame verte et bleue.
Aichi dans le pâté. En 2010, les quelque 200 Etats-membres de la Convention sur la diversité biologique (CBD) des Nations Unies se donnaient dix ans pour remplir 20 objectifs (les « objectifs d’Aichi ») afin de protéger le vivant. Aucun n’a été atteint.
Travail à la chêne. Au Royaume-Uni, des geais ont replanté la moitié des arbres de deux nouvelles forêts, en quelques années à peine, preuve de l’efficacité de la régénération naturelle de certains écosystèmes.
Vivant, climat, même combat. Membres du GIEC et de l’IPBES, 50 experts du climat et de la biodiversité appellent à mettre en œuvre des solutions communes pour traiter ces deux crises.
Bâbord les éléphants. Depuis six mois, une quinzaine d’éléphants traversent la province chinoise du Yunnan pour une raison qui échappe toujours aux observateurs.
Les cigales fourmillent. Une gigantesque génération de Magicicada septendecim, ces cigales qui sortent de terre une fois tous les 17 ans, inonde l’est des Etats-Unis depuis plusieurs semaines.
Poissons énergétiques. Alors que les rivières de Californie (Etats-Unis) sont à sec, des millions de saumons sont acheminés en camion jusqu’à l’océan Pacifique.
Forêt que ça cesse. Au Brésil, les activités humaines et le changement climatique ont à ce point modifié l’écosystème amazonien que la forêt ne joue plus son rôle de puits de carbone.
La facture du climat se règle en espèces. Les êtres vivants endémiques – qui ne vivent que sur un seul territoire – seront les plus durement touchés par les dérèglements du climat.
Il est temps de changer de thon. Dans l’ouest de l’océan Indien, la pêche industrielle épuise la mer et menace les communautés locales, alerte Greenpeace.
On se bar. De très nombreuses espèces de poissons ont déjà fui les eaux de l’équateur pour survivre à l’élévation des températures.
Poissons damnés. Un collectif hétéroclite de chercheur·euse·s et de militant·e·s appelle à interdire la pêche au vif, pratique cruelle pour les poissons et nocive pour l’ensemble du vivant.
Défonces d’éléphants. En quelques décennies, les populations d’éléphants de forêt et de savane se sont effondrées, mettant ces deux espèces en danger d’extinction, alerte l’Union internationale de conservation de la nature (UICN).
Filous de poissons. Une part considérable des poissons commercialisés dans les restaurants et supermarchés ne sont pas ceux qui sont indiqués sur l’étiquette.
En France, 2 430 espèces animales et végétales sont menacées d’extinction, d’après un bilan des treize années d’existence de la « liste rouge » nationale.
Un marathon pour un thon ? Dans l’Arctique, le bouleversement du climat force les ours polaires et les narvals à dépenser jusqu’à quatre fois plus d’énergie pour se nourrir, révèle une synthèse scientifique.
On a noyé les poissons. En 50 ans, les trois quarts des poissons migrateurs de nos fleuves ont disparu, alertent 16 organisations naturalistes.
De quoi se faire un sang d’encre. En Île-de-France, quelque 250 hectares de châtaigniers devront être abattus pour freiner la propagation de la maladie de l’encre.
On se fait l’abysse ? Des scientifiques ont accidentellement rencontré des formes de vie à 900 mètres sous la surface de l’Antarctique.