
L’Amazonie brésilienne émet plus de CO2 qu’elle n’en absorbe
Forêt que ça cesse. Au Brésil, les activités humaines et le changement climatique ont à ce point modifié l’écosystème amazonien que la forêt ne joue plus son rôle de puits de carbone.
Biodiversité
Forêt que ça cesse. Au Brésil, les activités humaines et le changement climatique ont à ce point modifié l’écosystème amazonien que la forêt ne joue plus son rôle de puits de carbone.
La facture du climat se règle en espèces. Les êtres vivants endémiques – qui ne vivent que sur un seul territoire – seront les plus durement touchés par les dérèglements du climat.
Il est temps de changer de thon. Dans l’ouest de l’océan Indien, la pêche industrielle épuise la mer et menace les communautés locales, alerte Greenpeace.
On se bar. De très nombreuses espèces de poissons ont déjà fui les eaux de l’équateur pour survivre à l’élévation des températures.
Poissons damnés. Un collectif hétéroclite de chercheur·euse·s et de militant·e·s appelle à interdire la pêche au vif, pratique cruelle pour les poissons et nocive pour l’ensemble du vivant.
Défonces d’éléphants. En quelques décennies, les populations d’éléphants de forêt et de savane se sont effondrées, mettant ces deux espèces en danger d’extinction, alerte l’Union internationale de conservation de la nature (UICN).
Filous de poissons. Une part considérable des poissons commercialisés dans les restaurants et supermarchés ne sont pas ceux qui sont indiqués sur l’étiquette.
En France, 2 430 espèces animales et végétales sont menacées d’extinction, d’après un bilan des treize années d’existence de la « liste rouge » nationale.
Un marathon pour un thon ? Dans l’Arctique, le bouleversement du climat force les ours polaires et les narvals à dépenser jusqu’à quatre fois plus d’énergie pour se nourrir, révèle une synthèse scientifique.
On a noyé les poissons. En 50 ans, les trois quarts des poissons migrateurs de nos fleuves ont disparu, alertent 16 organisations naturalistes.
De quoi se faire un sang d’encre. En Île-de-France, quelque 250 hectares de châtaigniers devront être abattus pour freiner la propagation de la maladie de l’encre.
On se fait l’abysse ? Des scientifiques ont accidentellement rencontré des formes de vie à 900 mètres sous la surface de l’Antarctique.
Garde la surpêche. Malgré une lente amélioration, seuls 47% des volumes de poissons et fruits de mer pêchés en France proviennent de populations en bon état.
Des scientifiques suggèrent d’abattre les hippopotames laissés par Pablo Escobar en Colombie avant que ceux-ci ne causent des dégâts irréversibles sur la biodiversité locale.
Oups brun. Le Conseil d’Etat et l’Europe demandent au gouvernement de revoir sa copie en matière de protection des ours pyrénéens.
L’holocauste du low cost. Notre appétit pour des régimes alimentaires bas de gamme et très carnés est la principale cause du déclin du vivant, mais ce n’est pas une fatalité.
Be kind, rewild. Depuis un an, la coalition Rewild tente de mettre les pensionnaires de l’ancien zoo de Pont-Scorff (Morbihan) sur le chemin de la vie sauvage.
Machines à souiller. Le nettoyage de nos vêtements synthétiques génère une importante pollution plastique et nuit à la vie marine dans les eaux de l’Arctique.
Organisé en ligne depuis l’Elysée, lundi, le One planet summit consacré à la biodiversité a été l’occasion de nombreuses annonces aussi volontaristes que peu concrètes.
Plus de couvées, plus tôt dans l’année ; les oiseaux de nos contrées s’adaptent comme ils le peuvent au climat qui se dérègle.