Bonnes idées et bonnes nouvelles
Le nouveau collectif de journalistes et communicants «Itinéraire bis» propose aux médias des ressources en ligne pour changer les représentations du voyage.
Dans le cadre de son Festival de l’économie engagée qui se déroule à Paris jusqu’au 25 juin, la Maison des Canaux (19è) a ouvert un appartement témoin meublé entièrement en matériaux et objets issus de l’économie sociale et solidaire. Visite.
Samedi, c’était le grand départ de la Mad Jacques : une course en autostop à travers la France vers un festival en Creuse. L’occasion de (re)découvrir les joies de cette pratique économique, écologique, et… sympa !
«Une communication déloyale» : c’est par ces termes mesurés que la Commission suisse pour la loyauté (CSL) a donné raison à cinq associations européennes qui accusaient la Fédération internationale de football (Fifa) de greenwashing.
Le Centre national d’enseignement à distance (CNED) a lancé ce mercredi la première formation en ligne et gratuite pour s’informer sur les enjeux climatiques.
Vert a décidé de se livrer à un exercice de transparence auquel peu de médias se soumettent. Nous publions notre tout premier rapport d’impact, pour vous expliquer dans le détail comment nous sommes financés et comment vos dons participent à transformer le paysage médiatique.
L’ONG Climate Whistleblowers («lanceurs d’alerte sur le climat» en français) a été lancée ce lundi à l’occasion de la journée internationale de l’environnement.
Cantine végé, limitation des déchets et conférences écolo : We love green réalise des efforts notables pour réduire ses impacts et sensibiliser ses quelque 100 000 festivaliers. Mais la venue d’artistes internationaux et autres SUV en vitrine font encore grincer des dents.
Selon ses promoteurs, la mise en place d’un quota individuel d’émissions de gaz à effet de serre permettrait de respecter les objectifs de l’Accord de Paris sur le climat, tout en laissant aux citoyen·nes la liberté de choisir comment adapter leur mode de vie. Décryptage.
Vert lance son nouveau club avec un objectif : parler mieux et plus fort du climat pour transformer la société toute entière. Et vous êtes invité·e.
Téléphones, emballages, vêtements… le plastique est partout autour de nous. Néfaste pour l’environnement et la santé, il est urgent de s’en passer. Mais alors par où commencer ?
Guillaume Meurice, Valérie Masson-Delmotte, Cyril Dion, Corinne Morel-Darleux et bien d’autres : les prestigieux membres du jury du Vertival de Cannes vous présentent leurs films préférés sur l’écologie.
Longtemps considérée comme un déchet, l’eau de pluie s’impose progressivement comme une ressource à préserver. Les aides publiques pour les particuliers se multiplient, mais les usages restent limités.
Avec la campagne de sensibilisation «Tu flippes?», le mouvement On est prêt veut rendre visible l’éco-anxiété. Dans cet entretien à Vert, sa figure de proue et héroïne de la série Clem sur TF1, la comédienne Lucie Lucas, revient sur des peurs «saines» dans un monde malade et appelle le cinéma à prendre la mesure de l’urgence.
Mathilde Lamotte d’Argy est la cofondatrice des Pluies de juillet, un festival de musique indépendant qui se tient du 7 au 9 juillet au Tanu (Manche). Dans cet entretien à Vert, elle explique ce que veut dire organiser un festival «écolo», sa charte ambitieuse pour diminuer l’empreinte écologique de l’événement et son riche programme de conférences et d’ateliers.
Rassembler des milliers de personnes pour faire la nouba n’est jamais anodin. Afin de mettre en lumière celles et ceux qui s’engagent, Vert publie pour la deuxième année sa carte des festivals écolos ET indépendants.
À Paris, la Cité des sciences et de l’industrie vient d’inaugurer une exposition permanente dédiée à l’urgence climatique. Ce parcours interactif entend donner des pistes d’action pour un mode de vie décarboné. Reportage.
En plus de limiter le gaspillage et les déchets alimentaires, le compost fournit également un engrais riche et naturel. Voici quelques pistes pour s’y mettre.
Créé à l’initiative du gouvernement néerlandais, un magasin fictif dévoile des produits du quotidien devenus inabordables à cause des conséquences du dérèglement climatique sur les ressources en eau.
Avec les sécheresses à répétition, le sujet revient dans les débats : faut-il faire payer davantage les plus gros consommateurs d’eau ? Depuis 2006, la ville tarnaise du Séquestre pratique la tarification progressive, avec des résultats encourageants. Reportage.
