Le monde pourrait compter 216 millions de réfugiés climatiques d’ici 30 ans
C’est chaud. Sous l’effet du réchauffement, 216 millions de personnes pourraient être poussées à l’exil dès 2050, alerte la Banque mondiale.
C’est chaud. Sous l’effet du réchauffement, 216 millions de personnes pourraient être poussées à l’exil dès 2050, alerte la Banque mondiale.
Dans une lettre ouverte adressée aux gouvernements du monde entier, 2 000 universitaires exigent un traité de non-prolifération des combustibles fossiles, sur le modèle de celui qui régit les armes nucléaires.
Nous voilà sauvés ! La plus grosse pompe à dioxyde de carbone (CO2) du monde a été mise en activité la semaine dernière en Islande. Une solution fantasque au réchauffement climatique.
Terminée, l’école pétrolière. La célèbre université américaine a annoncé la fin prochaine de ses investissements dans les énergies fossiles.
Le congrès mondial de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) s’est achevé vendredi par de nombreuses déclarations résolues, mais la bonne volonté des Etats laisse toujours à désirer.
Le vivant décline, certes, mais à quel point ? C’est la question à un million d’espèces à laquelle tentent difficilement de répondre scientifiques et spécialistes de la biodiversité.
Qu’est-ce qui pèse le plus lourd : une gigatonne de plomb ou de plumes ? En 2018, pour la première fois, des chercheurs ont estimé le poids de tout le vivant sur Terre.
Martine et les martinets. Dans son roman graphique Les martinets se cachent pour dormir, l’italien Franco Sacchetti nous embarque en direction du ciel où les martinets noirs jamais n’arrêtent de battre des ailes.
C’est la loose. Petit oiseau des champs, le pipit farlouse a perdu les deux tiers de ses effectifs en moins de 20 ans, devenant l’espèce la plus en déclin en France.
C’est l’hécatombe sous nos lampadaires, pourtant la lutte contre la pollution lumineuse continue d’être le parent pauvre dans la protection de la biodiversité.
Perd Castor. Le castor européen a frôlé l’extinction au début du XXè siècle. Son retour est synonyme de grands bénéfices pour les écosystèmes.
Notre Affaire à Tous et Pollinis s’apprêtent à lancer une action en justice contre l’État pour manquement à ses obligations de protection du vivant.
C’est dans l’aire. À l’occasion du congrès mondial de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), la France a redit sa volonté de protéger 30 % des espaces terrestres et marins d’ici 2030. Ce qui devrait entraîner la création de plus d’aires protégées, pourtant controversées.
Les thons ont la pêche. Quatre espèces de thons pêchés commercialement sont « en bonne voie de rétablissement » grâce à l’application de quotas de pêche régionaux appliqués depuis une décennie.
Elles font partie des plus belles merveilles du monde et abritent 25 % de la biodiversité marine. Pourtant, les barrières de corail sont en voie d’extinction dans plusieurs coins du globe.
Vivant et climat, même combat : voici l’un des messages principaux du congrès de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) qui se tient cette semaine à Marseille. Décryptage des principaux mécanismes à l’œuvre.
Bas aux baobabs. Emblématique de Madagascar, seul endroit où on le trouve sur Terre, le baobab « de Grandidier » — le plus haut de tous — est menacé de disparition.
Une trame verte nommée désir. Dans la préservation du vivant et de ses habitats, il est une solution qui fait son chemin en France et en Europe : la trame verte et bleue.
Botaniste renommé, il a parcouru le monde depuis les canopées des plus belles forêts. Francis Hallé est à la tête d’une association qui œuvre à recréer une forêt primaire en Europe de l’Ouest. Dans un entretien accordé à Vert, il raconte les nombreux défis posés par ce réjouissant projet.
Aichi dans le pâté. En 2010, les quelque 200 Etats-membres de la Convention sur la diversité biologique (CBD) des Nations Unies se donnaient dix ans pour remplir 20 objectifs (les « objectifs d’Aichi ») afin de protéger le vivant. Aucun n’a été atteint.