
Le dernier rapport du Giec s’affiche dans le métro
Pendant toute cette semaine, une campagne de pub massive pour le dernier rapport du Giec portée par le collectif étudiant Pour un réveil écologique s’affiche dans 108 stations de métro parisien.
Pendant toute cette semaine, une campagne de pub massive pour le dernier rapport du Giec portée par le collectif étudiant Pour un réveil écologique s’affiche dans 108 stations de métro parisien.
Contrairement à d’autres variables climatiques, le niveau de la mer continuera à s’élever bien après la stabilisation des températures globales, explique Gonéri Le Cozannet, chercheur en géosciences au Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM). Mais il existe de nombreuses solutions pour adapter nos littoraux à ce phénomène sans (trop) nuire au vivant.
Les promesses des États pourraient nous mener vers un réchauffement inférieur à deux degrés d’ici la fin du siècle si elles étaient tenues, révèle une nouvelle étude. Un résultat incertain qui repose sur la bonne volonté des pays.
Excédé·es par le peu de cas que leurs gouvernements ont fait des préconisations des rapports successifs du Giec, des centaines de scientifiques de plus de 25 pays appellent à la désobéissance civile pour préparer le terrain à une « révolution climatique ».
Maintenant que le Giec a sorti les trois volets de son rapport et que l’on a toutes les données scientifiques sur le changement climatique (tome 1), que l’on connaît ses impacts sur les sociétés humaines et l’ensemble du vivant (tome 2), et les remèdes à apporter à la crise (tome 3), qu’est-ce qu’on fait ? Sanaga a bien sa petite idée…
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) vient de rendre le troisième et dernier tome de son nouveau rapport, consacré aux solutions qui permettront de contenir l’emballement climatique. Tour d’horizon des principaux enseignements de ce document majeur.
L’approbation du dernier tome du nouveau rapport du Giec, consacré à l’atténuation de la crise climatique, a été retardée par certains désaccords au sujet, notamment, de l’indispensable sortie des énergies fossiles.
Julien Lefèvre est chercheur au Centre international de recherche sur l’environnement et le développement (Cired) et contributeur au troisième volet du 6ème rapport du Giec, qui étudie les scénarios de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Pour Vert, il détaille l’approche adoptée par les expert·es pour ces tout derniers travaux publiés ce lundi.
C’est l’un des principaux enseignements du dernier rapport du Giec : la crise climatique bouleverse fortement l’agriculture. Celle qui a dirigé le chapitre sur le sujet nous explique les principaux impacts attendus et les bonnes pratiques pour augmenter la résilience des écosystèmes.
Lundi, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a publié un rapport consacré aux conséquences du réchauffement climatique. Cela aurait dû être une bombe médiatique, ça n’a même pas eu l’effet d’un pétard mouillé.
Vacances scolaires, guerre en Ukraine… Une fois encore, un rapport crucial du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) passe à la trappe de l’actualité dans de très nombreux médias. Une disparition croquée par Sanaga.
L’adaptation à la crise climatique est au cœur du deuxième volume du dernier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec), paru ce lundi. De quoi parle-t-on ?
Le second volet du sixième rapport du Giec l’indique clairement : il est moins coûteux de mener des politiques d’adaptation aux risques climatiques que de ne rien faire. Mais que fait la France pour être à la hauteur des enjeux ?
Ce lundi, le Giec a publié le deuxième volet de son dernier rapport. Une vaste somme des connaissances sur les impacts passés et à venir de la crise climatique, ainsi que sur les possibilités d’adaptation à un monde en plein chamboulement. Tour d’horizon des principaux enseignements.
Le chercheur François Gemenne est membre du groupe 2 du GIEC, qui étudie l’adaptation de nos sociétés aux effets du changement climatique. Pour Vert, il livre sa vision des points saillants du rapport publié ce lundi et sa perception de l’engagement des scientifiques dans le débat public et la politique.
Au cours des deux prochaines semaines, les scientifiques du Groupe d’expert·es intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) planchent sur la version finale du deuxième volume de leur sixième rapport, qui portera sur les conséquences du changement climatique et la façon de s’y adapter.
Elles et ils sont climatologues, océanographes, sociologues ou économistes ; dans une tribune à France info, 1 400 scientifiques exhortent les candidat·es à la présidentielle et les médias à ne plus passer sous silence les indispensables débats sur les crises liées au climat.
Présenté en fin de semaine dernière, le nouveau gouvernement chilien compte bon nombre de femmes, de jeunes et d’expert·es, dont la climatologue émérite Maisa Rojas, autrice du dernier rapport du Giec.
Le poids des maux. Une fuite de documents destinés au Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) révèle que plusieurs États parmi les plus gros pollueurs rechignent à accomplir les efforts nécessaires pour faire face à l’urgence climatique.
L’amer monte. 360 millions d’habitants des zones côtières du globe sont déjà menacés par la montée des eaux à long terme. Un chiffre qui pourrait grimper à un milliard en cas d’inaction.