
On va sphère mal
Avec nos pesticides et nos salles de spectacles, on accélère vers la débâcle.
Avec nos pesticides et nos salles de spectacles, on accélère vers la débâcle.
Le gouvernement promet de réduire nos émissions, mais sans toucher à la «bagnole» ou au saucisson.
Macadrame. Samedi, plusieurs centaines de personnes se sont mobilisées dans le Val-d’Oise contre le projet de Boulevard intercommunal du Parisis ; ce lundi, le militant Thomas Brail entame une grève de la soif pour s’opposer à l’autoroute A69. La mobilisation contre les infrastructures routières prend un coup d’accélérateur.
Pour ne pas tomber dans le piège du tout-voiture, il nous faudra imaginer d’autres modes de transport dans le futur.
Nos avions carburent aux niches fiscales, des carburants pour un réchauffement brutal.
Des jeunes mènent 32 pays devant le tribunal pour inaction climatique dans un procès qui pourrait être historique.
Peut-être serait-il temps d’allonger les milliards avant qu’il ne soit trop tard ?
À rebours de l’air du temps, la bagnole et ses routes restent soutenues par le gouvernement.
Emmanuel Macron en fait des caisses pour jouer le franchouillard, au mépris de l’écologie et alors qu’il se fait tard.
Pour empêcher la biodiversité de mettre les voiles, des villes éteignent les lumières pour rallumer les étoiles.