Désordres de grandeur

«Faut-il débrancher le numérique ?» : on vous présente le nouveau poster de Vert !

Faire une recherche Google, déclarer ses impôts en ligne, regarder une vidéo en streaming… le numérique est partout dans nos vies. Pourtant, nos appareils nécessitent des métaux en pagaille et nos données transitent par des millions de kilomètres de câbles. De quoi générer d’immenses pollutions et mettre en danger de nombreuses populations. Alors, c’est quoi le hic avec le numérique ?
  • Par

Avec cette seule affiche, fruit de longues semaines de labeur, vous découvrirez combien de matières premières, d’eau et de dioxyde de carbone sont requis pour fabriquer un smartphone, les quantités astronomiques d’antennes, de câbles et de datacenters nécessaires pour transporter nos données et les prévisions dingues de croissance du trafic Internet dans les prochaines décennies. Comme d’habitude, Vert vous a aussi préparé une trousse de premiers secours pour mettre des limites au numérique.

© Vert

Comment mettre la main sur ce nouveau poster ?

Rendez-vous dans la Postérothèque pour télécharger et imprimer votre poster ! Tous les graphiques et les posters de Vert sont réutilisables sous la licence Creative Commons CC BY-NC-ND 4.0. Ils peuvent être librement partagés tant que Vert est cité, mais ne peuvent pas être modifiés ni utilisés à des fins commerciales.

Et voilà ! Maintenant, vous savez presque tout sur ce sujet majeur et vous serez capables de faire les bons choix pour vos appareils numériques ! Ce poster vous a plu ? Alors vous aimerez probablement les précédents opus de notre série «Désordres de grandeur» consacrés aux gaz à effet de serre, à l’énergie, aux solutions du Giec pour calmer le climat, et aux transports, tous disponibles dans la postérothèque de Vert.

💚 Faites un don de quelques euros par mois à Vert pour nous aider à continuer cette mission et parler toujours mieux d’écologie afin que tout le monde ait enfin les bonnes informations et puisse se mettre en mouvement !

Un poster réalisé avec Datacitron, l’aide du collectif Limites numériques (merci à Thomas Thibault) et le soutien de l’Ademe.