► Le docu : La grande malbouffe

  • Par

Bon appétit bien sûr. Sels de fonte, dioxyde de titane, transglutaminase, et autres auxiliaires technologiques… L’industrie n’est jamais à cours d’idées pour nous rendre accro et faire baisser le prix des produits ultra-transformés qu’elle nous sert. Un simple cordon bleu de supermarché peut contenir jusqu’à une trentaine d’ingrédients : c’est l’exemple choisi par La grande malbouffe (2020) pour nous raconter les dessous plus ou moins avouables de l’alimentation industrielle. 

© Arte

S’il oublie notamment de suggérer une alimentation moins carnée et non transformée (relire notre article sur l’impact environnemental de nos régimes low cost et carnivores), ce film offre un riche tour de la question, ainsi qu’un bon film d’épouvante. Pour digérer tout cela, rien de tel que Le jeûne, une nouvelle thérapie ?, également disponible sur le replay d’Arte

La grande Malbouffe, 2020, Maud Gangler et Martin Blanchard, à voir sur le replay d’Arte

Vous avez remarqué ?

Vous avez pu lire cet article en entier sans rencontrer aucun «mur». Et aucune publicité n’est venue gêner votre lecture.

Tous les articles, vidéos et newsletters de Vert sont en accès libre. Notre combat : permettre à tout le monde de s’informer gratuitement sur l’urgence écologique et de faire des choix éclairés, en ne laissant personne de côté.

Tout ceci est possible grâce aux 12 000 membres du Club de Vert, celles et ceux qui nous soutiennent au quotidien. Leurs dons mensuels nous permettent de faire notre travail de journalistes de manière indépendante, pour toutes et tous 💚​

Dans le chaos politique et écologique actuel, nous avons besoin d’élargir cette communauté pour continuer à grandir et informer toujours plus de monde sur les sujets les plus importants de notre époque.

👉 Si vous le pouvez, rejoignez le Club dès aujourd’hui et faisons la différence ensemble !