Vert est un né d’un constat simple : l’écologie est au cœur des grands bouleversements de notre époque, mais elle reste marginalisée, voire caricaturée dans de nombreux médias traditionnels. Chaque jour, notre équipe de douze personnes tente d’y remédier au travers d’une newsletter claire et concise, de posts sur les réseaux sociaux ou d’enquêtes, entretiens et reportages sur notre site internet. Des contenus accessibles gratuitement, pour informer le plus grand nombre et changer la société.
Ce média vit avant tout grâce à sa communauté : le Club de Vert. 7 000 personnes nous ont déjà rejoints après avoir activé un don mensuel. Elles et ils sont étudiant·es, professeur·es, ingénieur·ses, ouvrier·es… vivent à Toulouse, à Rennes, en région parisienne, dans les outre-mer. Et même à l’étranger : Bangkok, Barcelone et New York.
Alors que nous sommes en campagne pour atteindre les 10 000 membres, afin de continuer notre travail et de toucher toujours plus de monde, nous leur avons posé une question simple : «Pourquoi avez-vous rejoint le Club ?» Touchantes, drôles, parfois bouleversantes, leurs réponses disent toutes la même chose : faire partie du Club de Vert, c’est une manière de s’engager.
Rejoindre le Club pour agir
«Je voudrais pouvoir agir davantage, faire changer les comportements, mais j’ai l’impression de vider la mer avec une petite cuillère.» Ce témoignage, c’est celui d’Agnès, retraitée. Face à la «dégradation de notre belle planète», elle s’est réveillée un matin, décidée à agir, et elle a rejoint le Club de Vert. «Ça fait un bien fou !, confesse-t-elle. Vert est intéressant, pertinent, réactif, provocateur, donneur d’espoir… et plus encore !» On en a rougi.
Nina aussi, depuis la Belgique, a rejoint le Club avec le sentiment de «faire [sa] part». Elle a découvert Vert sur les réseaux sociaux, via les vidéos de Gaëtan Gabriele et d’Ophélie Damblé – alias Ta Mère Nature sur Instagram. «Je cherchais des infos à me mettre sous la dent, dans ce monde médiatique où l’on parle davantage de foot que d’effondrement de la biodiversité, et quel bonheur [en découvrant Vert] : un très beau travail visuel, des sources, du franc-parler… ce qu’il faut d’humour.»
Nina, Agnès et Nicolas nous remercient. Ce que ce dernier aime chez Vert ? En toute simplicité : «Le fait que vous placiez au cœur ce qui est essentiel : l’information.»
«Mon éco-anxiété est moins pénible quand je vous lis»
Il y a aussi les jeux de mots… «Ils font baisser mon éco-anxiété», confie Gabrielle. Marion abonde : «J’ai rejoint le Club de Vert pour rire grâce aux jeux de mots intarissables de l’équipe, et pour danser avec Gaëtan au rythme des bonnes nouvelles de la semaine.»
Les membres du Club aiment le ton de Vert. C’est grâce à lui, disent-ils et elles, que l’on peut continuer à s’informer sans sombrer. «Mon éco-anxiété est moins pénible quand je vous lis. Et même quand ça n’est vraiment pas facile, vous parvenez à expliquer les choses, avec humour déjà, et d’une façon claire et honnête sans être tragique», salue Chantal. Nicolas renchérit : «J’admire ce que vous faites, autant pour le choix des sujets que pour votre ton, toujours positif sans être angélique, réaliste mais pas catastrophiste.» Agnès conclut : «Vert me donne un peu de baume au cœur.»
«Faire pleurer Bolloré»
Nos donatrices et donateurs assouvissent, en nous lisant, leur soif d’information. Marion apprécie que l’on traite «des sujets trop souvent dénigrés ou bafoués». Kilian renchérit : «En quelques années, si j’ai pu m’informer en profondeur sur les enjeux écologiques, c’est en grande partie grâce à Vert». Le Rennais a depuis changé ses habitudes de transport, réduit sa consommation de viande, sa gestion des déchets…
Mais ce n’est pas tout. Vert est un média qui informe en toute indépendance, et ses lecteur·ices y sont très attaché·es. «On a besoin d’une information de qualité sur l’environnement, qui ne soit pas polluée par les divers intérêts des milliardaires qui possèdent 80% des médias», insiste Gabrielle. Elle a rejoint le Club pour une raison bien à elle : «Ça fait pleurer Bolloré. Et Bernard Arnault. Et Cyril Hanouna. Ensuite, il suffit de récupérer leurs larmes pour éteindre les méga-feux». Une véritable économie circulaire !
Agnès, Chantal, Nicolas, Nina, Kilian… Toutes et tous nous remercient pour notre engagement. Mais c’est Vert qui les remercie d’avoir rejoint le Club ! Sans elles et eux, nous n’en serions pas là aujourd’hui. Laissons à cet admirateur secret le soin de conclure : «Nous faisons partie de la nature, mais nous agissons comme si elle nous était étrangère. En soutenant une information indépendante et engagée, je choisis d’alimenter la prise de conscience.» Pour ce mystérieux donateur «un autre avenir est encore possible.» À bon entendeur…
